
Une belle lecture de ce texte fut déjà faite par Jacques Bonnaffé (https://www.franceculture.fr/recherche?q=Florar+Bonfanti) mais je ne peux résister au plaisir de prendre moi-même en bouche cette langue jubilatoire qui déploie sa rhétorique en enfilant les métaphores. Une pensée se creuse, une poésie l’éclaire.
« Dans les temps éloignés, les hommes avaient six doigts. Le sixième était toujours en feu. Il suffisait de toucher du doigt les choses. »