
Quelques poèmes d’un vagabond qui franchit le XIXème siècle sans être jamais là où on l’attendait. André Breton (avec bonheur) le sauva de l’oubli en l’intégrant à l’ascendance du surréalisme.
« Mais je ne suis ici pour y faire envie, / Mais bien pour y mourir, disons pour y pourrir, / Et la mort que j’attends n’ôte rien que la vie. »