Max Jacob

Jacques Vincent lit: « Les purs artistes achètent des autos », poème extrait du « Laboratoire central ». Vidéo produite par le Port-musée de la ville de Douarnenez.

Textes extraits du Quarto Gallimard, 2012.

Extraits du « Cornet à dés », 1
Extraits du « Cornet à dés, 2
Extraits du « Cornet à dés », 3
Extraits du « Cornet à dés », 4
Extraits du « Cornet à dés », 5
Extraits du « Laboratoire central », 1
Extraits du « Laboratoire central », 2

Étienne Faure

La vie bon train, éditions Champ Vallon, 2013.

Jacques Vincent lit un poème extrait de « La vie bon train ». Vidéo produite par le Port-musée de la ville de Douarnenez, publiée avec l’aimable autorisation de l’auteur.
la vie bon train

« La vie bon train » est un alignement de pavés en prose, tous d’égale longueur, arrêtés en gare, autant de fenêtres au travers desquelles l’auteur observe arrivées, départs, montées, descentes, entrées, sorties des passagers, des travailleurs, des animaux et même des végétaux (avec ou sans bagage). Son regard et tous ses sens sont ceux d’un anthropologue méticuleux, amusé et mélancolique, soucieux d’épuiser son sujet. « Ici le temps est le plus lent du monde sous les aiguilles d’une énorme pendule qui marque par à-coups l’heure légale ». Attente et écriture se fondent dans la réalité de la gare et dans son imaginaire « comme à Pompéi ». Dans cette « enclave hors du monde », au milieu de cette « formication obsessionnelle » , l’écriture « comme les femmes infiniment dans leur sac à main fouillent et refouilleront encore, pour trouver l’objet adéquat jusqu’au départ— et remettre de l’ordre dans tout ça. ».

« La vie bon train », éditions Champ vallon, 2013. Extrait publié avec l’aimable autorisation de l’auteur.

« Écrits cellulaires », éditions le phare du Cousseix, 2017. Enregistrement publié avec l’aimable autorisation de l’auteur.

Étienne Faure, « Et puis prendre l’air », Éditions Gallimard, 2020.

Une collection de mots sortis des poches de l’oubli dans le flot des jours ordinaires, dépliés et classés avec soin. « Les souvenirs, on dirait, comme les bestiaux fraichement tués, réclament aussi un temps de faisandage, une période acceptable de maturation, … ».

Musique de générique: Magali Robergeau et Gérald Méreuze,
lecteur: Jacques Vincent. Extraits publiés avec l’aimable autorisation de l’auteur.

Henri Droguet

Jacques Vincent lit « Hymne », poème extrait de « Grandeur nature », éditions Rehauts, 2020. Vidéo produite par le Port-musée de la ville de Douarnenez, publiée avec l’aimable autorisation de l’auteur.
Henri Droguet, « grandeur nature », Éditions Réhauts 2020.

Des poèmes dans une langue qui éclabousse, nous conduit par d’étonnants rivages syntaxiques et nous rappelle que nous parlions avant de savoir écrire. « Toute promesse est ici vertige où l’on verse ».

Extrait publiés avec l’aimable autorisation de l’auteur. Musique: Magali Robergeau & Gérald Méreuze. Lecture & montage: Jacques Vincent.