
Hélène Dassavray, « Quadrature de l’éphémère », éditions la Boucherie littéraire, 2020.
Selon son autobiographie, l’auteur « Écrit donc de Provence. Chaque jour. »
L’espace, le temps, la terre, ses cycles. En quarante neuf poèmes la témoin, tous sens ouverts, nous en laisse le témoignage avant de s’effacer du paysage. Des vers libres, de peu de syllabes, qui (heureusement) ne prétendent pas au statut de haï-kaï. Le choix des mots confère une harmonie sonore à des paroles qui chantent le « parti-pris de vivre ».
« La quadrature de l’éphémère / ce que l’on sait de la beauté / un simple champ de coquelicots «
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